Ces interrogations sont d’autant plus cruciales que le champ d’application du cadre législatif et réglementaire ne cesse de s’élargir, à la fois avec l’outil de taxonomie européenne qui fournit une compréhension commune de ce qui peut être considéré comme une activité verte ou durable et de nouvelles obligations de publication d’information sur la durabilité (environnement, social, gouvernance) qui s’étendent au-delà des grandes entreprises cotées avec près de 50 000 entreprises qui seront concernées, contre 11.000 à date.
Nous vous en parlions précédemment dans La finance au coeur des démarches « Business For Good ».
Une course contre la montre a donc commencé pour intégrer ces normes et donner des preuves de performance durable, en adressant ces enjeux par le bon angle.